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Politique : fin de la tournée républicaine d’ABO

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Le président  Ali Bongo  Ondimba, qu’accompagnait la Première Dame Sylvia Bongo Ondimba, a achevé ce lundi dans  la capitale économique la tournée républicaine entamée mi-juillet à Tchibanga. Sur un chant  choral pour le Gabon : « Un Dieu, un pays, un peuple ».

Lors d’un grand rassemblement populaire au stade Pierre-Claver Divungui, devant quinze à vingt mille supporteurs, le chef de l’Etat a salué le Gabon de la fraternité et de la solidarité, puis trouvé les mots pour embraser l’assistance : « Peuple valeureux, j’ai besoin de votre force pour que triomphe l’égalité des chances, car la route de l’émergence est droit devant nous. Le pays est en paix, le développement est en route, le pays est en chantier. Je suis venu vous parler d’amour, je sais votre impatience. C’est le temps d’aller de l’avant ».

Dans le droit fil de ses engagements, en parfaite correspondance avec sa déclaration de candidature à un second mandat prononcée dans cette même province de l’Ogooué-Maritime il y a six mois – « pour bâtir un meilleur vivre ensemble fondé sur l’inclusion et le mérite » -, Ali  Bongo Ondimba avait procédé un peu plus tôt à l’inauguration de la Maison de la jeunesse et de la culture de Port-Gentil. Pour une nouvelle dynamique de l’emploi et de la compétitivité,  afin de faciliter l’éclosion de tous les talents alors que la cité se prépare à accueillir la CAN, des infrastructures nouvelles apparaissent comme autant de passeports pour l’ascension socio- économique des Gabonaises et des Gabonais.

Engagée dans le combat pour l’autonomisation des femmes, la Première Dame est allée une nouvelle fois à la rencontre des Gabonaises assemblées Place de la Concorde. Un dialogue direct voulu par Sylvia Bongo Ondimba pour que les expériences vécues façonnent les actions contre les discriminations et orientent les politiques publiques en faveur d’une égalité réelle de toutes face à tous.

A Port-Gentil comme plus tôt dans la journée à Omboué, Ndougou et Mpaga, le Président de la République est allé droit au but : « Je sais que Port-Gentil souffre de la chute du pétrole ». Et fidèle à son approche du terrain, transformant l’expérience en conscience :. Nous devons  nous retrousser les manches et changer ensemble. C’est le temps d’un nouveau septennat, celui de l’éducation et de la formation des jeunes. Et ce match, tous ensemble, nous allons le gagner ».

 

 

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