Les leaders des confessions religieuses, acteurs du développement, se sont rendus ce mercredi 13 février sur les installations d’Olam.
Conduite par le président des organisations de la société civile, Dieudonné Minlama Mintogo, la délégation était composée des Églises éveillées (14 personnes), de l’ église protestante (24 personnes), et des musulmans, membres du Conseil supérieur des affaires islamiques du Gabon (18 personnes), qui ont effectué une visite guidée sur certaines installations et entreprises, dont le New Owendo International Port (NOIP), la zone économique spéciale de NKOK et la zone Résidentielle, la Société Sheng Rong qui fabrique les batteries de voitures, l’usine de transformation du bois de la société Solid Wood et l’usine de production d’eau de la Société Eau Origen Pure.
Cette visite s’est terminée par des prières effectuées par les différentes confessions religieuses, tour à tour et de nombreuses réactions.
«Après la presse et les organisations de la société civile, nous avons aujourd’hui les confessions religieuses. Celles-ci jouent un rôle très important dans le Gabon notamment dans la lutte contre la pauvreté. Elles constituent également un grand véhicule d’information et de communication. Comme disent les chinois, n’ont droit à la parole que ceux qui ont droit à la parole. Cette visite d’importants leaders religieux permettra de rapporter fidèlement, ce qui se fait ici. Car c’est toujours bien de juger de loin mais c’est encore meilleur de toucher du doigt», a réagi Dieudonné Minlama Mintogo, président des organisations de la société civile.
Pour Abdoul-Fattah Monbakala, Imam, et conseiller du président de la République : « Olam est un don de Dieu pour nous au Gabon… Si les autorités de ce pays avaient fermé les portes à Olam, cette société aurait investi ailleurs pour le bonheur d’autres populations. Nous remercions Dieu et félicitons ceux qui ont été à l’initiative de tout ce qu’Olam fait aujourd’hui dans notre pays.
L’œuvre parle de son auteur, elle définit les qualités de son auteur, elle montre l’intelligence et la sagesse de son auteur. Et, nous disons encore une fois merci et souhaitons qu’ Olam continue dans son élan. En même temps, notre souhait est que l’État continue à accorder sa confiance à cette société qui crée des milliers d’emplois pour nos compatriotes. Rassurez-vous, nous serons les ambassadeurs de ce que nous avons vu aujourd’hui, de ce bien, de ce bonheur que nous avons pu avoir. Nous sollicitons encore Olam, afin que les pauvres et les nécessiteux ne soient pas oubliés. Il ne pas baisser les bras et surtout ne pas se laisser décourager».
«Nous sommes émerveillés parce que nous pensons que nous sommes sur la voie du développement. Les entreprises que nous avons découvertes sont capables de représenter le Gabon au niveau de la sous région. Elles aident notre pays et répondent aux besoins et à certaines attentes de notre population.
Il y a de l’emploi pour les Gabonais, donc ces entreprises luttent contre la pauvreté. Nous pensons que nous sommes sur la bonne voie. En effet, au fur et à mesure que les entreprises se créent, le chômage va reculer, et le combat contre la pauvreté sera gagné. Nous attendons d’Olam qu’il poursuive son action, et qu’il couvre davantage de domaines d’activités dans lesquels le Gabon a besoin d’être accompagné », a dit pour sa part Augustin Bouengone, président de l’église évangélique du Gabon (PEEG).
Rostand Ella Essono , pasteur et président du Réseau des confessions religieuses de la société civile sur la santé et la reproduction rappelle : « En juillet dernier le collectif des associations et des organisations de la société civile qui lutte contre la pauvreté a permis que nous puissions toucher du doigt certaines réalités en terme d’investissement d’Olam sur le territoire national. Je m’aperçois 6 mois après qu’il y’a une amélioration qualitative et quantitative par rapport au précédent constat. Donc nous ne pouvons que remercier Olam. Nous découvrons ainsi, avec satisfaction, que le rêve prend petit à petit forme. Car, les projets Olam ne sont pas que des maquettes, se sont des projets que nous pouvons tous toucher du doigt, voir, apprécier et évaluer en fonction de leurs évolutions».