L’ensemble du personnel de la Fondation Sylvia Bongo Ondimba était présent ce samedi à l’école publique ENS B. L’objectif de cette troisième journée citoyenne a eu un cachet particulier.
La Première Dame, entourée de Madame Maganga Moussavou, l’épouse du Vice-Président de la République et de l’Amicale des Epouses des Membres du Gouvernements (AEMG) a mené un plaidoyer en faveur de la réhabilitation et de la salubrité des écoles, en sensibilisant la population sur l’engagement civique et la nécessité de prendre soin de l’environnement d’apprentissage de nos enfants.
En effet, il faut souligner que l’école publique ENS B était dans un état d’insalubrité totale. C’est ce qui a motivé le choix de la Fondation.
C’est dans une ambiance conviviale, que l’ensemble du personnel de la Fondation en partenariat avec les différentes parties prenantes à ce projet à savoir : le ministère de l’éducation nationale, les enseignants et les élèves, la mairie de Libreville et l’AEMG, pelles, râteaux, balais, débroussailleuses et pioches à la main, ont rendus cette école propre pour le bien-être des enfants.
Cette école servira d’école pilote dans le cadre d’une campagne de sensibilisation dénommée « J’aime mon école et j’en prends soin ».
Cette campagne va permettre non seulement de développer une conscience citoyenne au sein du milieu scolaire, mais aussi de sensibiliser la population sur la sauvegarde de l’environnement par le respect de certaines valeurs et des règles simples de bonnes pratiques.
Il est primordial d’éduquer et d’inculquer aux futures générations les valeurs de propreté, de prendre soin du bien commun. Et cette éducation se fera non seulement par les parents, mais aussi par le système éducatif.
C’est pourquoi, la sensibilisation et la prise de conscience de tout un chacun, contribueront à faire de nos écoles, des espaces sains et propres.
Comme il est de coutume, La Fondation Sylvia Bongo Ondimba a immortalisé son passage en plantant un « terminalia mantaly »un arbre parasol comme symbole de l’unité. A l’ombre de ses branches, les enfants pourront se retrouver, partager leurs jeux et développer la solidarité car, comme le dit ce proverbe africain, « Seul, on va plus vite ; ensemble, on va plus loin. »