Le jeudi 8 décembre 2022 la SETRAG a organisé la cérémonie de remise des médailles du travail à Libreville.
Ce sont 75 employés de la société qui ont vu leur « fidélité, loyauté, et abnégation » récompensées avec respectivement 49 médaillés de bronze, 11 médaillés d’argent et 15 médaillés d’or et ce, conformément à l’article 8 du Code du travail en vigueur en République gabonaise.
S’inscrivant dans le cadre de la Saint Éloi, cette initiative a permis à cette entreprise citoyenne de témoigner sa reconnaissance envers 75 hommes et femmes qui , au quotidien, bravent les risques pour faire de la Setrag « l’épine dorsale de l’économie gabonaise ».
En présence du Directeur général adjoint du Travail et de la Réglementation, de l’inspecteur spécial du travail chargé du Transgabonais ainsi que les membres du Comité de direction de la Setrag que Jean-Robert Avatoli, représentant le Directeur général empêché, a souligné l’intérêt de ladite cérémonie.« Les médailles du travail remises ce jour, viennent en récompense de l’ancienneté, de la loyauté et de la fidélité à la Setrag », a-t-il martelé.
Pour sa part, le Directeur général adjoint du travail et de la règlementation, représentant la Ministre Madeleine Berre, a salué le caractère citoyen de la Setrag qui place l’homme au cœur de sa stratégie de production. « Setrag s’est toujours pliée à ce que la loi exige. Elle a très souvent honoré ses travailleurs les plus méritants. Ce type de cérémonies incite les agents à donner le meilleur d’eux », a déclaré Jean-Baptiste Be Engonga. Une marque de reconnaissance qui n’a pas laissé indifférents les récipiendaires.
A ce propos, Hortense Michelle Essongue Epse Manfoumbi, représentante de l’ensemble des impétrants, a traduit la satisfaction des siens à l’égard de leur employeur. « Je suis rentrée à la Setrag en 1992. Après 2 ans au département Trafic je suis depuis 28 ans à la Direction des ressources humaines. Aujourd’hui on est tous heureux et valorisés », a-t-elle indiqué. Tout en exhortant les plus jeunes à développer davantage la conscience professionnelle et la résilience. S’en est suivie le partage du repas entre cheminots et leurs proches.