C’est le tube de la rentrée au Cameroun: les évangiles pornographiques et sataniques dans le livre de sciences des classes de 5 ème . Sous prétexte de pédagogie, le gouvernement camerounais a décidé d’arroser toutes les déviances sexuelles aux gamins prépubères des pépinières du collège. Images choquantes à l’appui, le livre intitulé ” Excellence en sciences “, devrait inculquer aux enfants de 10, 11, 12 ans, les pratiques bestiales telle que la zoophilie, les techniques incitatives à la sodomie, à la perversité et à l’homosexualité, dénonce nos collègues du journal www.coupsfrancs.com.
Extrait d’un cours de sodomie crue : “Un millionnaire lui propose une somme de 200. 000 francs en échange d’un rapport sexuel par l’anus, puis par la bouche (…). Deux mois plus tard, Étamé souffre d’incontinence fécale”. Voilà donc que se réalise ce que le Dr Charles Atéba Éyene dénonçait déjà dans son livre et révélait que le Cameroun était sous l’emprise “des sectes magico-anales”. Et le phénomène est entrain d’envahir l’Afrique.
Au Nigéria, dans l’État d’Ogun, Ademola Adekunle , un jeune homme qui a été initié très tôt à la sodomie, s’est fait déchirer l’anus par le bulldozer Okon Bassey. Mais c’est le bourreau qui a encore couru pour aller se plaindre devant la division de police d’Onipanu qu’Ademola menaçait sa vie.
Abimbola Oyeyemi, le commissaire adjoint de la police qui a envoyé ses éléments interpeller Ademola, a expliqué à la presse que ce dernier ne parvenait même plus à marcher parce que son anus était bousillé. Ademola a avoué avoir eu des rapports sexuels d’une extrême violence à trois reprises avec Bassey. Et cela lui a causé des saignements abondants qui ne se sont jamais arrêtés. Pendant ce temps, il n’a pas touché les 31 000 FCFA que Bassey lui avait promis.
Conduit à l’hôpital, un rapport médical a confirmé qu’Ademola avait subi un viol au niveau de son anus. Les deux tourtereaux ont été envoyés en prison, après avoir avoué qu’ils ont été initiés à ces pratiques à l’âge de 10 ans. On vit dans un monde foutu.
Ce n’est donc pas anodin que le Cameroun de Biya, autoproclamé ” meilleur élève de la France “, soit le premier pays à emboiter le pas de la France qui a décidé de vulgariser toutes les perversions et fantasmes sexuels dans les manuels scolaires des gosses de 0 à 4 ans. Un exemple à ne pas suivre.
Pédagogie de pédophilie indigeste, on veut massacrer les neurones des enfants avec des homélies de coucheries aux penchants scabreux. « Au lieu de prêcher l’abstinence à bas âge, on active la virilité aux bébés. On se coupe des racines culturelles africaines pour promouvoir l’homosexualité qui prospère dans les cercles politiques africains où les nominations et les promotions supersoniques s’obtiennent en cravachant avec le derrière bourré de couches », enfonce notre source.
Les inspirateurs zélés de ce manuel scolaire pornographique ont le chic de prétendre qu’ils veulent briser les tabous et graviter sur le modèle de l’éducation occidentale en prévenant la zoophilie et la sodomie aux enfants à fleur de l’âge prépubère. « Pourquoi n’enseignent-ils pas les braquages, la pose des bombes, le trafic de drogue à ces enfants pour les prémunir? », s’interrogent nos collègues.
A-t-on déjà vu un pays européen inscrire la polygamie dans ses manuels scolaires? Pourquoi les Africains devraient donc inscrire l’homosexualité dans les leurs?
Dans son jeune âge, l’enfant a besoin de connaître son anatomie et non des sordides histoires de dépravation de moeurs où tout tourne autour des pratiques de déviances de culs, des égarements moraux qui écorchent ses oreilles. Les enfants ont besoin qu’on leur raconte des berceuses et non des horreurs pour faire des cauchemars toutes les nuits. Comme le disait C. Delavigne: 《 Quand ils ont tant de mauvaises choses à l’esprit, les enfants vivent peu》