Les services de l’Etat seront mobilisés pour la sécurité des festivaliers à Libreville les 24, 25 et 26 Mai 2023 au Musée National, à l’Institut Français et à l’Institut Privé l’Érudit de Libreville, à l’occasion de la deuxième édition du Festival International du Livre Gabonais et des Arts (FILIGA).
En effet, une équipe opérationnelle des fonctionnaires de la police préfectorale veillera pour sécuriser le festival. La politique sécuritaire des évènements culturels répond à des mesures de sécurité précises et prédéterminées. De la surveillance à la vidéosurveillance, en passant par le gardiennage, la sécurité du public et des artistes ou la prévention contre les violences et tout autre acte de malveillance. Rien n’est laissé au hasard pour le bon équilibre entre l’esprit de célébration et les impératifs de sécurité nécessaires au bon déroulement de ce grand événement international.
Le Président dudit Festival, Rosny Le Sage Souaga a témoigné toute sa gratitude pour cette initiative nouvelle : « La protection des publics et personnels participants est au cœur des préoccupations des Membres du Comité d’Organisation du FILIGA. Mille mercis au Commandement en Chef de la Police Nationale pour cette parfaite collaboration dans un événement de telle ampleur où nous recevrons quasiment une vingtaine des Pays», a-t-il déclaré.
Notons que les services de sécurité interviendront principalement sur les abords des sites retenus et sur le domaine public afin de repérer d’éventuelles incivilités.
La thématique retenue cette année est : « Littérature et Écologie : écrire la nature à l’aune des bouleversements climatiques.» Avec le Royaume du Maroc comme Pays invité d’honneur, d’autres Etats (Côte d’Ivoire, Sénégal, Congo, Cameroun, Guinée Conakry, RDC, France, Canada, Rwanda, Burkina Faso, Centrafrique, Guinée Équatoriale, Tchad, Mali, Bénin, Togo, Afrique du Sud) y prendront part pour découvrir la richesse pluriculturelle du Gabon.
Le rendez-vous est donc pris pour les 24, 25 et 26 Mai 2023 au Musée National, à l’Institut Français et à l’Institut Privé l’Érudit de Libreville / GABON.
