Jean Ping s’insurge contre le traitement réservé aux élèves par les forces de l’ordre. Suite à la dernière répression de la police sur les élèves, le candidat malheureux à la présidentielle d’août 2016, exprime sa désapprobation via un communiqué publié sur les réseaux sociaux, rapportent nos confrères de Negronews.fr.
En effet, au pic de la vague de contestations sociales qui sévit depuis quelques jours dans le pays, notamment avec les populations sinistrés des inondations et maintenant depuis 48 heures avec celle des élèves réclamant de meilleurs conditions d’études et le retour dans les salles de classe de leurs enseignants, a donné lieu à une répression violente de la part des forces de l’ordre dans trois villes ( Oyem, Lambaréné et Port-Gentil). Face à cette situation, celui qui se considère toujours comme vainqueur des dernières élections a décidé de réagir. Il a dénoncé ces répressions et appelé le peuple gabonais à rester mobilisé.