A trois jours du vote, notre équipe de rédaction s’est rapprochée du candidat du parti démocratique gabonais aux futures législatives, Jacques Massala. Un homme visiblement très adulé dans son fiel politique. Entretien.
Etes-vous optimistes à trois jours du vote ?
Il y a une adhésion et un enthousiasme parfaits des populations qui laissent présager un bon résultat. Je suis en harmonie avec mon peuple et je crois qu’il a compris mon message. Un message de partage, de cœur et de la raison. Mon devoir est d’être à l’écoute des préoccupations des citoyens. Je suis en communion avec tous mes parents, j’ai déjà parcouru presque tout le 2e siège du 2ème arrondissement de Libreville. Je suis un fils du 2ème arrondissement, j’apporte ce que je peux. J’espère que le 06 octobre, au regard d’un certain nombre d’actions posées et de mon comportement, les populations viendront comme un seul homme pour me porter à l’assemblée nationale
A quand le meeting de clôture ?
Nous ne donnerons pas un meeting de clôture, mais nous allons offrir un repas populaire jeudi, avec une série d’audiences avec toutes les communautés linguistiques qui résident dans le 2ème arrondissement. Nous devons communier avec nos parents, frères et sœurs.
Que peut-on retenir de votre message de campagne ?
Mon message porte sur le partage et la transparence, sur le développement de notre arrondissement et du Gabon. Nous devons aimer note pays et le servir. Et servir le Gabon, c’est servir nos compatriotes. C’est pourquoi je partage avec mon peuple tout ce que j’ai reçu de mon parti (PDG) pour cette campagne. Ma victoire sera d’abord celle de mon parti et celle de tous les électeurs qui me soutiennent et qui soutiennent à travers moi, la politique de développement impulsée par le chef de l’Etat Ali Bongo Ondimba.
Si vous êtes élu député demain, quelle sera votre première action ?
Je mettrai à la disposition des populations du 2e siège du 2ème arrondissement, la moitié de mes fonds de souveraineté. Lesquels seront gérés collégialement par les 10 chefs de quartiers et les notables. Nous déciderons ensemble de ce que nous devons faire. Tout sera orienté vers les projets de développement collectif et l’amélioration des conditions de vie des populations. Ce que je dis, c’est ce que je fais.